mardi 28 juillet 2015

Celle qui faisait sa pâte à modeler

Rien de tel qu'un dimanche pluvieux pour prendre le temps de faire des activités avec ses nains. Aujourd'hui, c'est pâte à modeler !

Voici une recette simple et rapide de pâte à modeler découverte dans le chouette magazine GREEN ATTITUDE.

Les ingrédients :
- 150 grammes de farine
- 150 grammes de sel
- 10 grammes de bicarbonate de soude
- 1 cuillère à soupe d'huile végétale (olive, tournesol ou pépins de raisin)
- 180 grammes d'eau chaude
- des colorants
- 2 gouttes d'huiles essentielles (facultatif)


Pour les colorants, plusieurs options : le colorant alimentaire ou des colorants plus "natures" comme des jus de légumes ou des poudres végétales ou minérales.
J'ai utilisé de l'ocre rouge et de la chlorophylle en poudre pour ma recette. Ces 2 produits sont vendus chez Aroma-Zone et me permettent aussi de fabriquer mes cosmétiques maison.

Je n'ai pas mis d'huiles essentielles (HE). Mais je testerai la prochaine fois avec 1 goutte d'HE d'amande et 1 goutte d'HE de vanille. Il paraît que c'est proche de l'odeur de la pâte à modeler du commerce.

Comment faire :
Dans une casserole, mélanger la farine, le sel et le bicarbonate.
Ajouter l'huile et remuer.
Ajouter l'eau progressivement sans cesser de remuer.
Mettre la casserole sur une plaque à feu doux et remuer tout le temps. Quand la pâte commence à se décoller du fond de la casserole, enlever du feu et laisser tiédir.
Diviser la pâte en morceaux, ajouter les colorants et bien malaxer.

Cette pâte peut se conserver dans des pots hermétiques. Et si elle durcit trop, il suffit de la malaxer de nouveau avec les mains mouillées.

C'est parti pour des heures de jeu ! Mon petit poulet a adoré !


samedi 25 juillet 2015

Celle qui se lançait dans le challenge zéro sucre


En avril dernier, je me suis lancée dans une folle aventure : le zéro sucre.

Le principe : arrêter tous les sucres ajoutés. 
C'est-à-dire arrêter de manger : du sucre (assez simple à deviner), des viennoiseries, des pâtisseries, des gâteaux, du ketchup, des yaourts sucrés, du Nutella, de la confiture, du miel,...
Par contre, j'ai continué de manger : des fruits, des fruits secs, du pain, des céréales (sans sucres ajoutés évidemment).
Pour être plus juste, je suis plutôt passée au slow sugar qu'au quit sugar. Je m'octroie un petit plaisir sucré de temps en temps : quand on a des invités à la maison, quand on cuisine un gâteau avec les enfants, ou quand je suis invitée (surtout pour un anniversaire ; on peut difficilement refuser une part de gâteau d'anniversaire !).

J'ai dû revoir complètement ma façon de m'alimenter. Je suis le genre de personne qui choisit son plat en fonction de son dessert. J'ai appris à fonctionner inversement, ce qui est finalement plus logique. Je suis devenue adepte au resto du "entrée + plat" plutôt que du "plat + dessert".


Quelques conseils : lire les étiquettes de TOUS les produits que l'on consomme. Le sucre se cache partout, le petit filou. Aller en magasin bio pour faire le plein de produits sains, sans sucres ajoutés. Se mettre aux fourneaux pour se préparer des desserts maison sans sucres (des recettes vont suivre).

Le problème du sucre, au delà de tous les soucis de santé dont il est coupable, c'est que plus on en mange et plus on a envie d'en manger. Et ce qui est bien, c'est que ça fonctionne aussi dans l'autre sens. Une fois qu'on a passé 2 à 3 semaines sans sucre, tout produit sucré semble TROP sucré et on décèle le goût du sucre dans des aliments simples comme le lait par exemple.

jeudi 23 juillet 2015

Celle qui lisait zéro sucre de Danièle Gerkens


Pour les drogués du sucre, la lecture de ce livre fait bien réfléchir. Je voulais partager quelques passages qui m'ont particulièrement intéressée au fil des articles de ce blog. Complètement addict au sucre depuis des années (toujours ?) le témoignage de Danièle Gerkens m'a permis de prendre du recul et de tenter l'expérience.

Le premier point qui m'a frappée à la lecture de ce livre et lors du démarrage d'un challenge zéro sucre, c'est que le sucre est partout ! Il paraît que 20 à 40% des produits alimentaires contiennent du sucre.
Une fois que l'on commence à lire attentivement les ingrédients pour traquer le sucre, on est vite surpris.

Comment reconnaître le sucre ? 
Les industriels sont plutôt malins et tentent de nous le camoufler avec des termes bien compliqués pour nous embrouiller... et puis ça fonctionne pas mal. Voici une liste non exhaustive trouvée dans le livre de Danièle Gerkens : sucre, sirop de glucose (déshydraté), sirop de fructose, sucre inverti, caramel, (cristaux de) jus de canne (déshydraté), sirop de sorgho, sirop d'érable, sirop de caroube, sirop de maïs, sirop de datte, miel, sucre de fleur de cocotier, maltose, sirop d'amidon, sucre de raisin, extrait de malt, amidon modifié, muscovado, mélasse, dextrine, dextrane, maltodextrine, diastase, malt diastasique...

Voici quelques produits qui, à mon grand étonnement, contiennent du sucre : les boîtes de conserve de petits pois et carottes, les boîtes de conserve de maïs, la sauce tomate aux petits légumes, le pain de mie industriel, les chips (type Lay's), les bouillons de légumes, la vinaigrette, les soupes... Tout un tas de produits que l'on qualifie de salé et qui pourtant contiennent parfois des taux de sucre plus élevés que certains desserts !

Un conseil, lisez les étiquettes. Même si on veut continuer de consommer du sucre, c'est bien de le faire en connaissance de cause !

mardi 21 juillet 2015

Celle qui voulait appeler un chat un chat

Avant de parler de végétarisme, c'est pas mal de définir tout ça. Face à tous ces termes, beaucoup n'y comprennent rien.
Et quand je vois à la cantine de mon travail au rayon "Plat végétarien" une quiche au thon, je suis plutôt agacée...


Voici donc un petit lexique pour y voir plus clair :

Végétarien : un végétarien ne consomme aucune viande (terrestre ou marine). C'est-à-dire pas de viande, pas de poisson et pas de crustacés. Un végétarien mange des produits qui viennent des animaux, mais qui ne nécessitent pas leur mise à mort, comme les œufs, le fromage ou les yaourts.

Végétalien : un végétalien est végétarien et en plus, il ne mange rien qui provient d'un animal : pas de lait, pas de beurre, pas de miel, pas d’œufs. En fait, il refuse d'exploiter les animaux pour se nourrir.

Vegan : terme anglo-saxon souvent traduit par végétalien à tort. Un vegan est certes végétalien, et en plus, il n'utilise aucun produit d'origine animale. C'est-à-dire, par exemple, qu'il ne porte pas de cuir, ni de laine et qu'il utilise des produits cosmétiques sans graisses animales.

Flexitarien : un flexitarien est un végétarien à temps partiel en quelque sorte. L'alimentation du flexitarien est majoritairement végétarienne, mais il consomme tout de même de temps en temps de la viande, du poisson ou des crustacés. On trouve aussi le terme néo-végétarien.

Pesco-végétarien : un pesco-végétarien ne mange pas de viande mais par contre il mange du poisson. Fruits de mer, pas de fruits de mer ? Là, je ne sais pas.



Ici, pas de jugement. Chacun fait ce qu'il veut. Etre flexitarien c'est mieux pour les animaux et la planète que d'être omnivore. Restons ouverts et tolérants, c'est le plus important.


vendredi 17 juillet 2015

Celle qui ouvrait un nouveau blog

 
Je suis contente de démarrer un nouveau blog généraliste, après le blog de littérature unmois-unlivre.blogspot.fr.
Ici, des articles sur l'alimentation, la santé, la beauté, l'écologie, les animaux (Brigitte inside), les enfants... C'est-à-dire un peu de tout et n'importe quoi !
C'est un lieu de partage et d'échange avec des idées, des expériences et des liens vers des sites ou des blogs qui me plaisent.

Il fallait bien un petit mojito pour fêter ça (sans alcool évidemment). J'en profite pour souligner au passage la bonne idée de cet hôtel qui réutilise les pots de confiture du petit déjeuner pour servir des cocktails au bar. Ingénieux comme recyclage !